The first CFHSTC Honorary Colonel was a member of the British Trans Arctic Expedition in 1968-69
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Le premier colonel honoraire du CTSHFC a été membre de l’expédition transarctique britannique en 1968-1969.
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The origin of the motto of the Royal Canadian Medical Services / L‘origine de la devise du Service de santé royal canadien
Le texte en français suit:
It is to be noted that the information provided below is based on information received from Dr. John Blatherwick, former Honoury Colonel 12 Field Ambulance It (Vancouver).
The most recent history of Canadian military medical services seems to give credit to former LCol (ret’d) Anthony Grasset as the person who proposed the motto “Militi Succurrimus” . It would appear however that it is not so and that LCol Grasset merely submitted the proposal to the medical authorities. The person who in fact came up with the idea was a Regimental Medical Officer, Dr Michael Warrington as may be seen in an extract from the CMA Journal of November 06, 2007 Vol 77, No. 10: http://www.cmaj.ca/content/177/10/1239.1
Here is what is stated: “In 1976, while serving as RMO of the British Columbia Regiment, Duke of Connaught’s Own, I was asked by the Area Surgeon, LCol Anthony Grasset, if I had any ideas for a motto for the CFMS.
We had both studied medicine at Middlesex Hospital in London, UK. The hospital’s motto “Miseris Succerrere Disco” (I am learning to succour the distressed) was inspired by a quotation from the Aeneid by Virgil (70-19 BC) at the part where Queen Dido says to Aeneas when he was cast upon her shores: “Non ignara mali, miseris succurrere disco” (Knowing something of misfortune myself, I am learning to succour the distressed).
I suggested that we adapt this motto to read “Militi Succurrimus”. The CFMS adopted this motto on 10 August 1988, which in turn became the motto of the RCMS.
Note that “Miseris” (distressed) was changed to “Militi” (soldiers) and “Succurrere” to the plural latin form “Sucurrimus” (rescue) and therefore the English translation of the motto:”We hasten to aid the soldiers”
For more information see: Governor General Register of Arms, Flags and Badges: https://reg.gg.ca/heraldry/pub-reg/project.asp?lang=e&ProjectID=2379&ShowAll=1
Texte en français commence
Il est à noter que l’information fournie ci-dessous est fondée sur des renseignements reçus du Dr John Blatherwick, ancien colonel honoraire 12 Field Ambulance (Vancouver).
Anecdotes reliés au SSRC
L’histoire la plus récente des services médicaux militaires canadiens semble attribuer à l’ancien Lcol (ret) Anthony Grasset le mérite d’avoir proposé la devise “Militi Succurrimus” . Il semblerait cependant qu’il n’en soit rien et que le Lcol Grasset se soit contenté de soumettre la proposition aux autorités médicales. C’est en fait un médecin régimentaire, le Dr Michael Warrington, qui en a eu l’idée, comme on peut le lire dans un extrait du Journald de l’AMC du 06 novembre 2007, Vol 77, No. 10 : http://www.cmaj.ca/content/177/10/1239.1
Voici ce qui est dit : “En 1976, alors que j’étais médecin miltaire régimentaire du Régiment Duke of Connaught’s Own, le Med-chef de secteur, le Lcol Anthony Grasset, m’a demandé si j’avais des idées pour une devise pour les SSFC.
Nous avions tous les deux étudié la médecine à l’hôpital Middlesex à Londres, au Royaume-Uni. La devise de l’hôpital “Miseris Succerrere Disco” (J’apprends à secourir les affligés) s’inspire d’une citation de l’Énéide de Virgile (70-19 av. J.-C.) dans la partie où la reine Didon dit à Énée quand il fut lancé sur ses côtes : “Non ignara mali, miseris succurrere disco” (Connaissant le malheur, j’ai appris à secourir les malheureux).
J’ai suggéré d’adapter cette devise pour qu’elle se lise “Militi Succurrimus”. Cette devise fut adoptée par les SSFC le 10 août 1988 et est devenue à son tour la devise du SSRC.
À noter que “Miseris” (affligés) a été remplacé par “Militi” (soldats) et “Succurrere” au pluriel latin “Sucurrimus” (aider) et donc la traduction française de la devise : « Nous accourons pour aider les soldats ».
Pour plus d’informations, voir : Registre des armoiries, drapeaux et insignes du Gouverneur général
https://reg.gg.ca/heraldry/pub-reg/project.asp?lang=f&ProjectID=2379&ShowAll=1
The Canadian Field Ambulance / L’Ambulance de campagne canadienne
Le texte en français suit:
The Canadian Field Ambulance, as a medical unit, is a product of the South African War or Boer War. At the beginning of that war, British brigades were supported by two independent medical units, i.e. a bearer company and a Field Hospital. In 1901, a War Office committee recommended that the functions of these two separate units be combined and four years later they were.
The Field Ambulance was situated quite close behind the fighting front and received the wounded and the sick. Some had received rudimentary treatment at the front-line aid posts. The role of the Field Ambulance was to treat the lightly wounded or sick who could be quickly returned to their unit and to prepare the more seriously wounded for the move rearward to a Casualty Clearing Station (CCS). Casualties that could not be adequately treated in the CCS would be stabilized there before being transported rearward to a General Hospital.
In 1914, the personnel of a Field Ambulance was comprised of nine medical officers, and 238 other ranks. Transport consisted of 15 riding horses and 39 draught horses. The horses and drivers were from the Army Service Corps but attached permanently to the field ambulances. There were nineteen horse-drawn vehicles which included three ambulance wagons, three water carts, four limbered wagons, seven service wagons for technical equipment and baggage, one “Maltese cart’(1) and one travelling kitchen. Seven motor ambulances were also included. The CCS was comprised of seven medical officers and 75 other ranks.
(1). The “Maltese cart” was a light two-wheel cart which carried field medical and surgical panniers, “medical companion”, surgical haversack, and water bottles.
https://www.greatwarforum.org/topic/91565-maltese-carts/
Texte en français commence
L’Ambulance de campagne canadienne, en tant qu’unité médicale, est un produit de la guerre des Boers en Afrique du sud. Au début de cette guerre, les brigades britanniques étaient soutenues par deux unités médicales indépendantes, à savoir une compagnie de brancardiers et un Hôpital de campagne. En 1901, un comité du Ministère de la Guerre a recommandé que les fonctions de ces deux unités distinctes soient regroupées et, quatre ans plus tard, elles le furent.
L’Ambulance de campagne était située assez près derrière le front et recevait les blessés et les malades. Certains avaient reçu un traitement rudimentaire aux postes sanitaires de première ligne. Le rôle de l’Ambulance de campagne était de soigner les blessés légers ou les malades qui pouvaient retourner rapidement à leur unité et de préparer les blessés les plus graves à se rendre à un Poste sanitaire d’évacuation (PSE). Les blessés qui ne pourraient pas être traités adéquatement dans le PSE y seraient stabilisés avant d’être transportés, vers l’arrière, à l’Hôpital Général.
En 1914, le personnel d’une Ambulance de campagne se composait de neuf médecins et de 238 militaires du rang. Le transport comprenait 15 chevaux de selle et 39 chevaux de trait. Les chevaux et les chauffeurs appartenaient au Corps d’intendance de l’armée, mais ils étaient attachés en permanence aux ambulances de campagne. Il y avait dix-neuf véhicules hippomobiles, dont trois wagons-ambulances, trois charrettes à eau, quatre wagons-chariots à deux roues à châssis souple, sept wagons pour le transport de l’équipement technique et les bagages, une « charrette maltaise »(1) et une cuisine mobile. Sept ambulances motorisées ont également été incluses. Le PSE se composait de sept médecins et de 75 militaires du rang.
(1).La « charrette maltaise » était légère et à deux roues et transportait les sacoches médicales et chirurgicales de campagne, le “compagnon médical”, le havresac chirurgical et des bouteilles d’eau.
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I joined theCOTC as an officer-cadet. 2 years later I was attached to the R22R in Germany made lieutenant and was commissioned as an infantry officer. I returned to the COTC for 3 years and made captain. I wanted to join the regular RCAF but was taken only as a pilot officer, had to resign my commission and was recommissioned as an RCAF officer. I started to climb the mountain again and my retirement rank of m/gen. was attained after 41 years. Interesting?